David Lafore seul sur scène ! Aïe ! Vous allez pleurer ! Vous allez rire ! Et parfois, les deux à la fois !
C’est beau, sensuel, et puis paf ! Ça devient du grand n'importe quoi ! Oui, c’est parti… quoi ? Farce ! Cyclone ! Et puis on redescend, doux et tendre. Une chanson drôle, une chanson triste, on remonte, on re-redescend : c’est un manège ! Un yo-yo ! Ça pique et ça caresse. Et puis tout s’emmêle ! Ah ! L’infernale et belle machine... la vie.
YO-YO — C’est le titre.
Vous avez dit spectacle vivant ? Jamais deux soirs pareils !
Fou, punk et romantique ? Textes ciselés, guitare électrique, instants fragiles…
Soirée en deux parties :
La première, bêtement, David Lafore nous fera son solo, chansons tristes à mourir ou dingues à rire, un concert-spectacle, selon les soirs, car les improvisations et bifurcations sont possibles mais pas obligatoires... ici et maintenant ?
La deuxième, peut-être bien acoustique, est une partie à trois avec Edith Bégout au clavier, percussion et chant et Hakim Hamadouche, bien connu à La Meson, à la mandole, chant. Allez savoir ce qu'elle et ils nous fabriquent ! Musique bien sûr, mais peut-être bien aussi lecture orchestrée...
Il a la naïveté provocante des doux cinglés qui posent des questions aussi farfelues qu’essentielles. André Manoukian, France Inter
Les codes du spectacle volent en éclats. Une inclassable bouffée d’air frais. Marie-Catherine Mardi, Télarama
Un même esprit caustique, une virtuosité d’écriture. Hélène Hazera, France Culture